by Luigi Speranzafor "Gli Operai"jlsperanza@aol.com
DES GRIEUX
(à Manon avec intimité)
En fermant les yeux, je vois là-bas...
une humble retraite,
Une maisonnette toute blanche au fond des bois
Sous ses tranquilles ombrages
Les clairs et joyeux ruisseaux,
Où se mirent les feuillages,
Chantent avec les oiseaux!
C'est le paradis!... Oh non!
Tout est là triste et morose,
Car il y manque une chose,
Il y faut encore Manon!
MANON
(doucement)
Thursday, July 29, 2010
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